aujourd'hui, il a fallu qu'on réfléchisse à notre ligne éditoriale... la voici !
Des lignes de fuite, ouvrant des perspectives, des lignes tendues comme les cordes d'une guitare, des lignes entre les cases des BDs...
Avec des lignes, le meilleur pote de la Crabouille a prouvé que l'infini était égale à 4 :
dans la géométrie non-euclidienne, imaginez un triangle avec trois angles droits et dont deux des côtés sont infinis. Le troisième côté vaut 4. En utilisant Thalès, on peut ainsi prouver que l'infini vaut 4 !
Il y a quelque chose qui cloche, non ?
Y'a aussi cette ligne que les pubs nous incitent à avoir, à retrouver, ou à garder. Princesse n'a aucun problème pour ça, alors que la Crabouille assume fièrement de ne pas le pouvoir. ("J'aime trop manger de toutes façons !")
Et puis y'a la ligne du temps aussi. On en est prisonniers, qu'il paraîtrait...
Vous connaissez peut-être le paradoxe du grand-père... un homme qui retourne dans le passé et tue son grand-père avant que celui-ci n'ai des enfants. Dans ce cas, comment peut-il tuer son grand père puisqu'il n'existera pas ? Pire, si il ne peut tuer son grand-père, alors celui-ci pourra avoir des enfants, permettant au voyageur de le tuer, et etc... les paradoxes temporels ça fait mal au crâne.
Hm, j'ai comme l'impression qu'on s'est un peu égaré dans notre
Bah, c'est pas bien grave, on va poursuivre sans, on verra bien où ça nous mènera...
LOVE !